Le week-end du 20 septembre a été marqué par une vague d’émotions et de célébrations dans le nord Franche-Comté. De Belfort à Montbéliard, en passant par Héricourt et les communes environnantes, l’amour était partout présent dans les mairies de la région. Ces cérémonies Belfort et des environs ont rassemblé familles et amis autour de moments d’exception, créant un véritable album des mariés aux histoires touchantes. Entre nouvelles unions et noces d’or, ce week-end restera gravé dans les mémoires de nombreux couples qui ont choisi cette période pour officialiser leur bonheur.
L’amour rayonne dans les mairies du Territoire de Belfort
Les communes du Territoire de Belfort ont vibré au rythme des unions locales samedi dernier. À Joncherey, l’émotion était palpable lorsque Mickaël Peter et Julie Bongiovanni, tous deux infirmiers, ont prononcé leurs vœux devant Francis Blanc. Cette union symbolise parfaitement l’engagement de ces professionnels de santé qui se sont rencontrés dans l’exercice de leur métier salvateur.
À Delle, c’est une histoire tout aussi touchante qui s’est écrite avec le mariage en images de Clément Derain et Naomi Dahmani. Lui, ouvrier qualifié originaire de Besançon, elle, opératrice en horlogerie née à Lyon : leur parcours illustre parfaitement ces destins qui se croisent et s’unissent dans notre belle région. Les célébrations nuptiales Belfort continuent d’attirer des couples venus de toute la région.
- Joncherey : Union de deux professionnels de santé
- Delle : Rencontre entre tradition horlogère et savoir-faire artisanal
- Essert : Alliance entre expérience et dynamisme professionnel
- Réchésy : Cérémonie familiale présidée par l’oncle de la mariée
Réchésy : quand l’oncle maire unit sa nièce
La mairie de Réchésy a vécu un moment d’exception avec l’union d’Émilie Dietsch et Angelo Parisi. Cette cérémonie avait une saveur particulière puisque c’est André Kleiber, maire de la commune et oncle d’Émilie, qui a officié. Émilie, Docteur ès Lettres, et Angelo, entrepreneur venu de la région parisienne, ont ainsi scellé leur amour dans cette intimité familiale si caractéristique des unions Belfort Héricourt Montbéliard.
Commune | Époux | Épouse | Particularité |
---|---|---|---|
Joncherey | Mickaël Peter | Julie Bongiovanni | Couple d’infirmiers |
Delle | Clément Derain | Naomi Dahmani | Horlogerie et artisanat |
Réchésy | Angelo Parisi | Émilie Dietsch | Oncle maire officiant |
Essert | Christophe Putegnat | Mélanie Villaume | Différence d’âge assumée |
Montbéliard et ses environs célèbrent l’amour sous toutes ses formes
Le secteur de Montbéliard n’était pas en reste avec des célébrations nuptiales particulièrement émouvantes. À Bavans, Sophie Radreau a uni Hansi Jokerlé et Emma Aubert, un couple né le même jour à Héricourt. Cette coïncidence troublante a donné une dimension presque magique à leur union, comme si les astres s’étaient alignés pour ces noces Héricourt d’adoption.
L’amour Montbéliard s’est aussi exprimé à Audincourt avec l’union de Sinem Balli et Ziya Eroglu, témoignant de la diversité culturelle qui enrichit notre territoire. Christine Metin, adjointe au maire, a présidé cette cérémonie qui symbolise parfaitement l’ouverture de nos communes aux couples de toutes origines. Les couples du weekend Belfort et environs continuent d’inspirer par leur diversité.
- Bavans : Couple né le même jour dans la même ville
- Audincourt : Union multiculturelle et moderne
- Hérimoncourt : Famille recomposée avec trois enfants
- Mathay : Cérémonie présidée par un maire ému
Hérimoncourt : l’union d’une famille déjà constituée
Marie-France Bottarlini-Caputo, maire d’Hérimoncourt, a vécu un moment particulièrement touchant en unissant Mégane Rose et Arnaud Monniot. Cette cérémonie avait un goût particulier car le couple était accompagné de leurs trois enfants : Liam, Thylio et Kélyah. Cette galerie des unions familiales montre que l’amour prend mille visages et que les familles recomposées trouvent aussi leur place dans nos célébrations nuptiales mariés.
À Mathay, Daniel Granjon a présidé l’union de Mathilde Fernandes Campelo et Maxime Kohler, tous deux âgés de 25 ans et natifs de Montbéliard. Un détail émouvant : c’est Laurence Kohler, mère du marié et conseillère municipale, qui a lu les articles du Code civil, ajoutant une dimension familiale forte à cette cérémonie.
Les couples du week-end : entre tradition et modernité
Les couples du week-end ont offert un panorama saisissant de la société contemporaine. À Pont-de-Roide-Vermondans, Valérie Choulet et Christophe Fleisch illustrent parfaitement ces unions où l’âge n’est qu’un chiffre : 36 et 59 ans, ils prouvent que l’amour ne connaît pas les conventions. Maryline Hassenfratz, adjointe au maire, a célébré cette union en présence de leurs enfants respectifs, créant une belle famille recomposée.
Les métiers exercés par ces nouveaux époux reflètent aussi l’évolution de notre société. À Rougemont-le-Château, Gérald Eisele et Margaux Wallez travaillent tous deux dans une chocolaterie, prouvant que les couples d’aujourd’hui partagent souvent les mêmes passions professionnelles. Ces unions Haute-Saône weekend témoignent de cette modernité assumée.
Profession | Nombre de couples | Secteur d’activité | Particularité |
---|---|---|---|
Infirmiers | 2 | Santé | Couples de soignants |
Chocolaterie | 1 | Alimentaire | Même entreprise |
Tourisme/Paie | 1 | Services | Complémentarité |
Artisanat | 3 | Industrie | Savoir-faire local |
- Secteur médical : forte représentation des soignants
- Artisanat local : perpétuation des traditions
- Services modernes : hypnothérapie, expertise tourisme
- Différences d’âge : acceptation sociale croissante
Champagney : deux unions, deux histoires
Marie-Claire Faivre, maire de Champagney, a eu l’honneur de célébrer deux unions distinctes ce samedi. D’abord celle de Matias Villequey, gestionnaire de paie, et Chloé Tuaillon, professeure, un couple domicilié à Vesoul qui a choisi cette commune pour leur cérémonie. Puis celle de Lucas Tolusso, chauffeur privé, et Daniela Coello Sandoval, experte en tourisme, illustrant parfaitement la diversité des nouvelles unions Haute-Saône.
Noces d’or : Courtelevant célèbre 50 ans d’amour
Au milieu de ces nouvelles unions, Courtelevant a vécu un moment d’exception avec les noces d’or d’Élisabeth et Bernard Valkre. Cinquante ans exactement après leur mariage célébré dans cette même mairie le 20 septembre 1975, le couple s’est retrouvé face à Francis Gérard pour renouveler symboliquement leurs vœux. Cette cérémonie témoigne de la permanence de l’amour et inspire ces événements nuptiaux d’un jour.
Leur parcours de vie résume parfaitement l’évolution d’une famille française : Bernard, boucher de métier, et Élisabeth, assistante maternelle, ont élevé quatre enfants dont ils ont perdu Laurent en 1980. Ils ont ensuite accueilli Tiffany, leur fille de cœur, et sont aujourd’hui grands-parents de neuf petits-enfants. Cette belle histoire inspire tous ceux qui découvrent ces célébrations nuptiales Haute-Saône.
- 1975 : Premier mariage à Courtelevant
- 1980-1987 : Naissance de quatre enfants
- 2012 : Premiers petits-enfants
- 2025 : Neuf petits-enfants pour les noces d’or
Vive les mariés Belfort : un élan collectif d’optimisme
Ces célébrations du week-end prouvent que le vive les mariés Belfort résonne encore fort dans notre région. Chaque union raconte une histoire unique : professionnels de santé unis par leur vocation, artisans perpétuant les traditions locales, familles recomposées trouvant leur équilibre, couples multiculturels enrichissant notre diversité. Les unions nuptiales Haute-Saône continuent d’inspirer par leur authenticité.
Questions fréquentes sur les mariages dans la région
Combien de couples se sont mariés ce week-end dans la région ?
Seize nouvelles unions ont été célébrées samedi 20 septembre dans les communes de Belfort, Héricourt, Montbéliard et leurs environs, sans compter les noces d’or de Courtelevant.
Quelle est la particularité des mariages célébrés ce weekend ?
Ces unions se distinguent par leur diversité : couples de soignants, familles recomposées, unions multiculturelles et différences d’âge assumées, reflétant parfaitement l’évolution de la société moderne.
Pourquoi tant de couples choisissent-ils septembre pour se marier ?
Septembre reste un mois privilégié pour les mariages grâce à ses conditions météorologiques favorables et sa symbolique de nouveau départ, particulièrement appréciée après les vacances estivales.
Comment les mairies gèrent-elles plusieurs cérémonies le même jour ?
Les communes organisent les créneaux horaires pour permettre à chaque couple de vivre pleinement son moment, comme l’a fait Champagney avec deux unions distinctes célébrées par le même maire.
Les couples viennent-ils de toute la région pour se marier ?
Effectivement, certains couples domiciliés à Vesoul ou venus de régions parisienne choisissent nos communes pour leur cadre authentique et leurs célébrations chaleureuses, témoignant de l’attractivité de notre territoire.

Passionnée par la beauté de la nature, je capture des instants uniques à travers mon objectif. À 28 ans, chaque photo que je prends raconte une histoire, une émotion, un souvenir. Mon travail vise à éveiller les sens et à sensibiliser à la préservation de notre environnement.